Sujet: Lore Hyborien - Les Royaumes du Désert Dim 26 Mai - 17:38
Khoraja
"Khoraja est le paradis des mercenaires. Les aventuriers de Kothic l’ont sculptée dans les terres des Shemitish et ont établi leur propre royaume, il y a des siècles. Ces jours-là ont dû être houleux, quand ceux qui étaient pauvres pouvaient s’emparer d’une nation pour eux-mêmes. Ce ne sont pas des jours si glorieux, et c’est tout ce que l’on peut accomplir pour travailler pour la dynastie commencée il y a longtemps par ceux qui n’ont pas plus de sang royal que la plupart des paysans. Maintenant, Khoraja contrôle le col de Shamla, coupant à travers le puissant escarpement séparant Khoraja du désert. Avec le col de Shamla en main, le roi de Khorajan n’a pas peu d’influence sur le commerce se déplaçant du nord au sud. Qui que soient ces aventuriers qui ont fondé la terre, ils ont choisi leur territoire comme trempé dans la tactique de la guerre. Une seule compagnie de soldats pourrait tenir contre les légions. Pourtant, comme dans tout royaume, les menaces surgissent de tous côtés. Le voisin Koth ne reste pas sans rien faire, mais a des yeux pour prendre cette nation montante et la ramener sur la carte de Kothic. Khoraja a toujours besoin de soldats, bien que la famille royale soit servie par trois cents chevaliers de Khorajan. Ils viennent du sang royal de Kothic et considèrent les mercenaires comme une courtisane respectable voit une pute ordinaire. Les guerriers qui se battent pour l’or sont considérés comme inférieurs à ceux qui prêtent serment d’honneur pour se battre pour le roi et le pays.
Pourtant, beaucoup de dirigeants sages prendraient deux douzaines de mercenaires au-dessus d’une armée de forces dites « loyales ». Ces soldats sont souvent faibles, conscrits de leurs fermes et pressés au service de leurs monarques, et pas peu de ces chevaliers sont augures mais nobles choyés, à peine aptes à porter leur chère armure et à peine capables de s’asseoir sur des chevaux valant plus qu’eux-mêmes. Khoraja est une ville d’environ 30.000 personnes. Leur vie va du confortable aux indigents, comme on le trouve dans n’importe quelle grande ville de cet âge. La ville a ses intrigues, ses voleurs, ses kidnappeurs, et ses meurtriers. Elle a ses marchés nocturnes et ses temples où les Khorajans de sang mêlé se plient devant les dieux Shemite et Kothic. Parmi ses soldats autochtones, il n’y a qu’une seule force viable, les Zaheemi Hillmen, dont la cavalerie est rapide et forte. Le reste de l’armée de Khoraja est faible, faible de but, et manque de discipline, la vertu première d’un soldat. Nul ne peut supporter la puissance de Koth. Et ainsi le fardeau retombe sur les mercenaires. Le trésor engage des groupes comme les compagnies libres pour défendre le royaume contre ce que les ennemis peuvent venir. De l’escarpement de Kothian aux Montagnes de Feu, cette terre grouille de ruines d’autrefois. Beaucoup d’aventuriers ont cherché leur fortune dans ces vestiges hantés du temps de jours meilleurs seulement pour trouver leur mort. Il y a des choses que personne ne devrait savoir - des dieux et des monstres plus âgés que le temps, des entités dont les Zaheemi parlent rarement. Leurs légendes décrivent des créatures hors du temps et de l’espace, qui peuvent conduire les hommes à la folie, et pour cette raison les Zaheemi ne s’aventurent pas à la légère dans l’inconnu."
Khauran
"Ils sont venus à Shem avec des casques bosselés, des boucliers entaillés mais des lames encore tranchantes. Ils sont venus de la forêt chaude de Kush, les gouttières de Shadizar. Ils venaient du nord gelé et de la Marche Bossonienne, où ils avaient appris à être les meilleurs archers du monde. Ils sont venus sans cérémonie, sans ruban ni métal. Ils sont venus pour l’argent, ces mercenaires, et quand ils ne sont pas payés, ont pris la terre et un livre de chair hors des cartes de Kothian et en ont fait un pays. Ce pays était Khauran. Comme son voisin Khoraja, Khauran est une anomalie – une terre taillée par les mercenaires et les aventuriers. Mais c’était il y a longtemps, et les gens bruts qui ont pris la terre sont devenus la famille dirigeante connue sous le nom de dynastie Askhaurian. Les gens ordinaires, avec le pouvoir, le dominent aussi facilement sur leurs semblables que ceux qui y sont nés. Peut-être qu’un jour un roi de sang commun se lèvera et réfutera cette vérité apparemment éternelle ? On dit que la dynastie porte avec elle une malédiction, peut-être mieux résumée comme une légende, dans laquelle une fois une génération une sorcière est née de ce sang maintenant royal. Même ainsi, Khauran a réussi jusqu’ici à rester indépendant de Koth. Ces contes de sorcières n’ont pas causé ce royaume expérimental d’échouer. Tous les rois et reines regardent avec méfiance les réalisations des hommes ordinaires sur ces nobles-nés."
Shem
"Les prairies pastorales de l’ouest laissent place aux grands déserts orientaux de Shem, terre qui a donné naissance à une culture et une religion influentes. Les commerçants Shemitish, errants par la tradition et la nature, ont porté l’art, les artefacts, les dieux, et les coutumes de Shem de l’Aquilonia aux terres de Vendhya et Khitai. Comme Argosseans sont à la mer, Shemites sont à la piste. De loin, la plus célèbre des divinités Shemite est Ishtar, dont les adorateurs se trouvent dans tous les pays Hyboriens, Turan, et dans les terres encore plus éloignées. C’est à Koth, cependant, où la puissance d’Ishtar prend vraiment forme, car la déesse est là plus souvent adorée que Mitra lui-même. Les villes de Shem sont des œuvres d’architecture ingénieuse, d’opulence et de commerce sans pareil. De vastes temples à Ishtar, Anu, et Erlik se lèvent dans la nuit fumée sur les murs robustes qui entourent chaque ville. Shem lui-même n’est pas un royaume propre, mais une collection d’états-villes liés par les lignées, la culture, la religion, et l’économie. Asgalun est la plus grande ville des états de Shemite et regarde à travers l’étendue sans fin de l’océan occidental. Akbitana est célèbre pour son acier, soi-disant incassable.
Les archers Asshuri, lorsqu’ils sont affrontés par des généraux intelligents, ont tenu Koth au nord et le serpent enroulé de Stygia au sud. Seuls les idiots confondent la prospérité à long terme de Shem comme un exploit de l’économie seule. Malgré cela, les gens de Shem oriental regardent avec inquiétude les déserts à leur est, connaissant l’ambition du roi de Turan et la facilité relative par laquelle il pourrait frapper leurs terres."
Stygie
"Le seul empire à rivaliser avec l’ancien Acheron était la Stygie. Il a survécu contre ce royaume maléfique, et le passé de Stygie est lié à toute l’histoire du monde, comme si c’était les bobines d’un serpent. La Vieille Stygie, née du cataclysme, avait des racines s’étendant encore plus loin dans les ténèbres du temps. On dit que les cultures pré-humaines, des êtres sensibles faits par Père Set lui-même, ont construit les premières pyramides, dont celles de luxe ne sont que des ombres. Pourtant, même les ombres dominent les réalisations des nouvelles nations barbares. Stygie a fait des pactes avec l’Obscurité Extérieure et a construit de vastes temples pour les créatures extraterrestres qui s’y trouvaient à une époque où les Boris étaient encore des dégénérés et des quasi-singes, se remettant du cataclysme. Une terre sèche, la vaste majorité des terres fertiles de Stygie embrasse la rivière Styx, la plus longue du monde connu, car elle se dirige vers l’est seulement pour serpenter soudainement vers le sud vers les jungles sombres de Punt et les Royaumes Noirs.
La plus grande des vieilles villes de Stygie embrassent également les rives du Styx vivifiant, bien que les eaux sont souvent seulement les bienvenus aux indigènes. Un étranger prend ses chances, plus il s’aventure dans Stygie. Plus de quelques marchands vendent leurs marchandises le long des rives du Styx lui-même, préférant perdre un peu de profit qu’une livre de chair. Le dégoût pour les étrangers est le pire à Khemi, où de grands serpents, fils de Set, errent dans les rues la nuit en revendiquant les victimes qu’ils veulent. Seuls les fous hors-la-loi s’aventurent dans les rues de Khemi après la nuit. Comme Acheron avant elle, les bobines de l’empire Stygien sont forgées dans la sorcellerie et le culte des décors. La domination du roi Ctesphon n’existe qu’aux largesses de la prêtrise de Set, bien qu’ils soient si profondément corrompus par les ténèbres extérieures que leur capacité à gouverner est effectivement limitée. L’armée Stygienne est puissante, alimentée par de humbles esclaves pour les généraux élevés. Les chars courent à travers le désert, et font pleuvoir des flèches sur leurs ennemis. Dernièrement, Stygie n’a pas jeté son oeil au-delà du Styx, au lieu de maintenir une posture défensive contre l’empiétement Turan. Cependant, les hiéroglyphes des temples de Set parlent de longues histoires mouvementées avec de nombreuses périodes d’expansion Stygienne. Si l’ancien empire ne cherche pas maintenant à conquérir au-delà de ses frontières, ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils le fassent."
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